Scott Lyall (né en 1964 à Toronto, Canada, ) vit et travaille entre Toronto et New York. Son oeuvre, qui associe techniques picturales, processus numériques et nouveaux matériaux, tend à produire ce qu’il qualifie de « design sans clientèle », d’« art digne d’une peinture analogique ». Parmi ses récentes expositions personnelles, citons : Superstar, Miguel Abreu Gallery, New York ; Callings and Cave Painting Now, Susan Hobbs Gallery, Toronto ; et Dragons, Campoli Presti, Paris et Londres. Ses oeuvres ont également figuré dans les expositions Collected by Thea Westreich Wagner and Ethan Wagner, Whitney Museum of American Art, New York, 2015, Poésie balistique, La Verrière-Fondation Hermès, Bruxelles, 2016, et The Painter’s New Tools, Nahmad Contemporary, New York, 2022.
Linn Meyers (née en 1968 à Washington, DC) vit entre Washington, DC, et Los Angeles. Véritable chambre d’enregistrement de ses mouvements physiques, son oeuvre – composée de peintures, de dessins et de grandes installations – consigne les imperfections et les incohérences résultant de l’évolution d’une main et d’un corps sur une surface. Les oeuvres de Meyers ont été exposées dans des lieux publics et privés, parmi lesquels le Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, le Smithsonian American Art Museum et la Phillips Collection, Washington, DC ; le Hammer Museum, Los Angeles ; le Drawing Center et la Sandra Gering Inc., New York ; le Metropolitan Art Museum de Tokyo ; la galerie Jason Haam, Séoul ; l’espace ParisCONCRET, Paris ; et le Bowdoin College Museum of Art, Brunswick, Maine.
Olivier Mosset (né en 1944 à Berne, Suisse) vit et travaille à Tucson (Arizona). Actif à Paris de 1965 à 1977, il a participé à la création du groupe BMPT avant de s’installer à New York. Mosset préfère se définir comme peintre plutôt qu’artiste. Les principes de neutralité, de radicalité et d’auto-effacement qui régissent son oeuvre participent à une constante mise en jeu des limites de la peinture. Parmi ses récentes expositions personnelles,citons : galerie lange + pult, Auvernier, Suisse, 2022 ; The Last Cowboy Songs, Baronian Xippas, Bruxelles, 2022 ; Tucson Museum of Art, Tucson,2022 ; MAMCO, Genève, 2020 ; Galerie Gagosian, Genève, 2020 ; Olivier Mosset – TUTU, Museum Haus Konstruktiv, Zurich, 2019 ; et Olivier Mosset- 2, 11, 47, Fondazione Antonio Dalle Nogare, Bolzano, Italie, 2019.
Sally Ross (née en 1965 à Morristown, NJ) vit et travaille à New York. Jouant avec les matériaux, dont elle construit et déconstruit la substance, Ross est passée de la figuration à une pratique picturale plus physique et plus abstraite, dans laquelle le hasard et la contingence jouent un rôle significatif. Ses oeuvres ont figuré en 2022 et en 2018 dans deux expositions organisées par Bob Nickas, Strange Attractors, An Anthology of Interplanetary Folk Art, Vol. 3: Lost In Space, Apalazzo Gallery, Brescia ; et Kerry Schuss Gallery, New York. Citons aussi, parmi ses expositions récentes : Painting Piece-By-Piece, Collezione Maramotti, Reggio Emilia, 2018 ; Material Matters, galerie Rodolphe Janssen, Bruxelles, 2019 ; Sally Ross: Materials and Procedures, Fergus McCaffrey gallery, New York, 2018.
Alan Ruiz (né en 1984 à Mexico City, Mexique) vit et travaille à New York. Son oeuvre examine les protocoles mis en place par les systèmes économique, esthétique et social pour façonner et conditionner l’espace. Diplômé en art de l’université de Yale (New Haven, CT), il a également suivi le Whitney Independent Study Program à New York. Ses oeuvres ont été accueillies dans divers lieux d’exposition new-yorkais, parmi lesquels le Hessel Museum of Art, The Kitchen, le Queens Museum et le Storefront for Art and Architecture. Ses écrits ont été publiés dans BOMB Magazine, Millenium Film Journal, et Women & Performance: a journal of feminist theory. Ruiz enseigne au Hunter College et à la New School, à New York.
Michael Scott (né en 1958 à Paoli, PA) vit et travaille à New York. Son oeuvre se situe au croisement de l’abstraction radicale et de formes héritées du pop art et de l’art conceptuel. Depuis 1986, sa peinture cherche à sonder les limites de l’expérience visuelle. De nombreuses institutions ont exposé ses oeuvres, parmi lesquelles le FRAC Normandie, Caen, 2022 ; le MAMCO, Genève, 2016-2017 ; le Schneider Museum of Art, Ashland, OR, 2015 ; le MACBA, Buenos Aires, 2015 ; le Circuit, Lausanne, 2014, le Consortium, Dijon, et la Kunsthalle Bern, 2012 ; le CAPC, Bordeaux, 2011 ; Le Magasin, Grenoble, 2009 ; la Fondation Vasarely, Aix-en-Provence, 2008 ; le MoMA PS1, New York, 2005 ; le Musée cantonal des beaux-arts de Lausanne, 2005 ; et le Musée d’art contemporain Donnaregina, Naples, 2001.
Kate Shepherd (née en 1961 à New York) vit et travaille à New York. Passionnée par l’espace perspectif, elle explore depuis des décennies le rapport entre les tableaux et leur environnement, jouant de diverses surfaces réfléchissantes pour nourrir un discours engageant le panneau peint, le spectateur et l’espace de la galerie. Les oeuvres de Shepherd figurent dans les collections de nombreux musées, parmi lesquels : la Albright- Knox Art Gallery, Buffalo ; le Museum of Art de Baltimore ; l’Eli and Edythe Broad Art Museum, Los Angeles; l’Art Center de Des Moines ; le Museum of Art d’Indianapolis ; le County Museum of Art de Los Angeles; le Museum of Fine Arts de Boston ; la Phillips Collection, Washington, DC ; le Museum of Contemporary Art de Scottsdale ; et l’Art Museum de Seattle. Elle est représentée par la Galerie Lelong & Co, New York.