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Directrice d'ouvrage

Rachel Valinsky (née en 1990 à Paris) est autrice, éditrice et traductrice. Elle vit à New York, où elle est directrice de publication au Center for Art, Research and Alliances, ainsi que co-fondatrice et directrice artistique de l’association littéraire Wendy’s Subway, Brooklyn. Ses écrits sur la performance, la danse et l’image animée ont paru dans Artforum, PAJ: Performance Art Journal, e-flux criticism, Art in America, BOMB et frieze. Elle a été par ailleurs publiée par la Berlinale, festival international du film de Berlin, Danspace Project et Sternberg Books. Elle a présenté ses recherches sur Guy de Cointet, le théâtre d’objet et les props de performance dans le cadre du Museum Research Consortium au MoMA et lors de conférences au CUNY Graduate Center de l’université Brown ainsi qu’à l’université de Buffalo. Elle a reçu une bourse de recherche de la Guy de Cointet Society. Titulaire d’un MPhil en histoire de l’art de l’université de la ville de New York, Valinsky enseigne l’histoire de l’art, la performance, l’écriture sur l’art et la pensée critique à l’université de New York et la New School (New York).

Contributeur.rice.s

Davide Balula (né en 1978 au Portugal) est un artiste franco-américain qui vit et travaille à New York. Sa pratique, mêlant l’organique et le synthétique, invite la participation du spectateur et l’environnement naturel à devenir des agents actifs de ses oeuvres. Parmi ses récentes expositions personnelles : Machine Water, Musée départemental d’art contemporain, Rochechouart ; Some farmed, others mined, galerie frank elbaz, Paris ; 37,5°C, Centre Pompidou, Paris ; Calories and Dance Moves for the Internal Organ Systems, Schirn, Francfort-sur-le-Main ; Mimed Sculptures, The Bass Museum, Miami ; Iron Levels, Gagosian, Rome.

Eva Barto (née en 1987 à Nantes) est une artiste française. Elle explore les relations de pouvoir qui gouvernent en particulier les codes de propriété, par l’étude des discours hégémoniques, des mécanismes de corruption et des entraves à la loi. Elle dévoile les relations économiques en jeu à l’intérieur et à l’extérieur du monde de l’art. Son travail a été présenté lors d’expositions personnelles et collectives, en France comme à l’étranger, notamment à gb agency, Paris ; Villa Arson, Nice ; Kunstverein Freiburg ; Kunstverein Nuremberg ; Kunstlerhaus Stuttgart ; Plateau Frac Ile-de-France, Paris ; et MACRO, Rome. Elle a reçu une bourse Étant donnés en collaboration avec le SculptureCenter, New York (2022). Elle est co-fondatrice du collectif La Buse qui milite pour les droits des travailleur·euse.s de l’art et coanimatrice de l’émission radiophonique ForTune sur *Duuu Radio.

Julie Béna (née en 1982 à Paris) vit et travaille à Paris et Prague. Son oeuvre est constituée d’un ensemble éclectique de références, alliant littérature contemporaine et ancienne, high et low art, plaisanterie, et sérieux, temps et espaces parallèles. Composé de sculptures, d’installations, de films et de performances, son travail semble souvent flotter dans un vide infini, se déployant sur une toile de fond fictive où tout est possible. Béna a eu des expositions personnelles à Longtermhanstand, Budapest ; NiCOLETTi, London; la Villa Arson, Nice ; Protocinema, Istanbul ; à Kunstraum, Londres ; au Kunstverein Bielefeld ; au Jeu de Paume, Paris ; au CAPC musée d’art contemporain, Bordeaux, parmi d’autres. En 2012- 2013, elle a fait partie du Pavillon, le laboratoire de recherche du Palais de Tokyo. Elle est l’autrice de It needed to be tender and to be whipped (Montez Press, 2017). En 2018, elle a été nommée au prix AWARE pour les artistes femmes.

Jesse Chun (née en 1984 à Séoul) travaille entre New York et Séoul. Ses poèmes en images animées, ses courts métrages et ses installations explorent le langage et sa/ses diaspora/s, son rapport à la politique, la traduction et les cosmologies. En traitant les récits institutionnels établis et les marques de l’impérialisme linguistique qu’elle traverse comme des sites de (mé)traduction, de rupture et d’abstraction, son oeuvre exhume des sémiotiques et poétiques alternatives pour que passent de façon non linéaire le sens, le temps et l’intraduisible. Elle a notamment exposé au Museum of Contemporary Art Toronto ; au Nam June Paik Art Center, Yongin, Corée du Sud ; à la Seoul Mediacity Biennale ; à la Whitechapel Gallery, Londres ; au SculptureCenter, New York ; au Queens Museum, New York ; au Drawing Center, New York; et à BAM, New York. Elle a obtenu, entre autres, une bourse de la Joan Mitchell Foundation et du programme Art by Translation, Paris.

Jean-Pascal Flavien (né en 1971 au Mans) vit et travaille à Berlin. Sa pratique mêle architecture, sculpture et performance pour créer des oeuvres précises et concrètes, mais aussi poétiques. La conception et la construction de maisons forment le socle du travail de Flavien. Il définit le vocabulaire formel d’une maison, l’ouvrant à des rencontres et des événements éphémères, ainsi que ses usages à la fois fonctionnels et non utilitaires. Il a jusqu’ici produit quinze environnements construits non habitables. Ses récentes expositions personnelles incluent Make-up House, San Gimignano Lichtenberg, Berlin ; Greenhouse - States of mind, Fabre, Paris ; House with things behind, Heidelberger Kunstverein, Ballardian house, Esther Schipper, Berlin ; Dancers sleeping inside a building, Biennale d’art contemporain – Musée de la danse, Rennes ; et Folding house (to be continued), NMNM - Nouveau Musée national de Monaco.

Gordon Hall (né en 1983 à Boston) est sculpteur, créateur de performances et auteur. Iel est basé à New York. Hall examine les effets personnels, relationnels et politiques de notre relation aux objets et aux autres. En utilisant à la fois des formes abstraites et des copies reconstituées d’objets donnés, iel interroge notre usage de ces choses et
l’engagement corporel qu’elles nous demandent. In fine, ce sont les dynamiques sociales et politiques de cet engagement qui l’intéressent. Les objets intentionnels, spécifiques et énigmatiques que crée Hall sont à la fois des déclencheurs de performance et des allégories pour une éthique de la relationalité. Iel a notamment exposé en solo au MIT List Visual Arts Center, Cambridge, Massachusetts ; au Portland Institute for Contemporary Art, Oregon; à la Renaissance Society, Chicago ; à EMPAC, Troy, New York ; et Temple Contemporary, Philadelphie. Depuis 2011, Hall dirige le Center for Experimental Lectures. Iel est également professeur adjoint de sculpture à l’université Vassar, New York.

Alan Reid (né en 1976, à Fort Worth) vit et travaille à Brooklyn, New York. Ses tableaux méticuleux à l’acrylique sur toile de lin combinent les techniques de la peinture traditionnelle et de l’illustration avec diverses références à l’histoire de l’art, du design et de l’architecture. C’est le langage qui dirige chaque composition grâce à l’accroche de mots isolés ou de courtes phrases. Son oeuvre suggère une attention à la mécanique de la peinture comme objet et pose des questions structurelles sur la poétique de la fabrication des images. Il a exposé en solo chez Nicelle Beauchene, New York ; Mary Mary, Glasgow ; Lisa Cooley, New York ; Patricia Low Contemporary, Gstaad ; et Apalazzo Gallery, Brescia. Il a participé à des expositions collectives notamment chez Bel Ami, Los Angeles ; Soldes, Los Angeles ; Miguel Abreu, New York ; Situations, New York ; Jacky Strenz, Francfort-sur-le-Main ; Poker Flats, Williamstown, Massachusetts ; et Inman Gallery, Houston, Texas.

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